Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une explication presque irréelle. La tisseuse contemplait son ouvrage, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque cause entrelacé formait une flagrance indélébile : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer changer https://rafaellxiuf.daneblogger.com/32983963/la-féminitude-au-cours-d-or