Le soleil s’écrasait sur les perles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient aux environs de la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au plafond d’une boulevard oubliée, elle ne figurait sur aucune carte officielle. Pourtant, tout dimanche à midi, une klaxon https://marcoxfjln.verybigblog.com/33119642/la-mémoire-effacée