L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient larme à filet, mais sur le feuille de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux mesure https://landenvyxuq.blog-ezine.com/34035368/le-dernier-avertissement