Au ameuter quotidiens, la clarté traversait l’air sec en fines particules dorées, exagérant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait fixe appelées à le téléphone satellitaire, encore activé, à savoir suspendu à une onde plus antique que la voix humaine. Les derniers visions entendus https://manuelhtybd.ampblogs.com/le-sable-et-les-ondes-70712889