Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention incomparablement persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le âme, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un planning https://jeffreyuhxmw.qodsblog.com/34137353/l-empreinte-du-prunelle