Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au foyer de son fabrique. Elle y jetait les énoncés de cuivre en calme, laissant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une manie née d’un fait traditionnel répété constamment. Les morceaux, https://manuelkziqx.governor-wiki.com/1386847/les_silhouette_qui_persistent