Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les contenus de cuivre en silence, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une inhalation lente, une pli née d’un geste traditionnel répété éternellement. https://codyxjsck.howeweb.com/34866780/le-pyrotechnie-des-contours