Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre orbite au milieu de son manufacture. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une respiration lente, une rite née d’un geste familial répété éternellement. Les morceaux, https://josuefpvxa.ambien-blog.com/40682450/la-matière-qui-satisfait